Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
Les trottinettes, et les vélos éléctriques sont de plus en plus sophistiquées, mais surtout de plus en plus silencieux et ultra rapides, envahissent sérieusement la promenade piétonne sur la corniche de la plage d’Agadir, de jour en jour. Un danger en vue et qu’il ne faut pas prendre à la légère.

En effet, la complication de ces engins roulant vient d’abord, qu’ils sont manipulés par les grands et les petits. Ils routent très vite. En plus, ils sont silencieux. Dernier point, et non des moindres, ils sont utilisés dans un vrai espace public, qui est une promenade piétonne, redevenue une piste pour les deux roues. ET cela jour et nuit.
C’est grave et cela doit s’arrêter. Le Conseil Communal d’Agadir, doit assumer sa responsabilité, pour protéger les citoyens de ce danger, en instituant les interdictions formelles et réglementaires qu’il faut, dans cette espace qui doit rester sans vrai danger pour la population. Avec un décret spécifique bien précis et bien responsable, il faut afficher de grands panneaux d’interdiction des trottinettes et vélos électriques sur la corniche. Et veiller d’une façon formelle à ce que ceci doit être respecté formellement.
Il est à remarquer qu’on voit souvent des jeunes utiliser des engins en guise de compétitions de vitesse, se faufilant entre les promeneurs constitués par personnes âgées, des femmes enceintes, des personnes handicapées, des mères avec leurs poussettes… C’est inacceptable et cela doit cesser, formellement. Que les élus assument leur responsabilité et qu’ils fassent le vrai travail de protection de la population, avec les moyens nécessaires : panneaux d’affichages, travail d’équipe avec les services de police et des forces auxiliaires …
Le plaisir d’une petite minorité ne doit pas gâcher le plaisir de la population qui fréquence la promenade de la corniche, formée non seulement des locaux, mais aussi des visiteurs : touristes nationaux et étrangers.
En effet, le grand plaisir de cette promenade en bordure de mer est justement de jouir, à la fois, de jour et de nuit, de marcher en parallèle de la plage, profitant de vues super sur la mer, et de l’air frais des vagues. Cela doit se faire sans le moindre gêne extérieur et danger potentiel. Or avec les trottinettes le danger est à la fois imminent et réel. Que le Conseil Communal d’Agadir assume ses responsabilités, à ce sujet, avec la ferme volonté qu’il faut.
Moralité « vaux mieux prévenir que guérir ».
A bon entendeur, salut
Med RIAL
Du 15 au 18 mai 2025, la station balnéaire de Agadir-Taghazout accueille le congrès annuel des Entreprises du Voyage (EDV). Ce choix, porté par l’ONMT, traduit une volonté de renforcer les liens entre les professionnels du tourisme français et marocains, en offrant un cadre à la fois inspirant et propice aux affaires.
Pendant trois jours, plus de 400 décideurs français du secteur : agences de voyages, tour-opérateurs, transporteurs et hôteliers, se retrouvent à Taghazout, dans la région d’Agdir pour réfléchir ensemble à l’avenir du tourisme, partager les grandes tendances du secteur, et co-construire les perspectives de développement sur les marchés 2025 et 2026. Entre séances de travail, ateliers et moments de convivialité, cette édition se veut à la fois studieuse et immersive.
Chaque année, ce congrès est un moment-clé du calendrier touristique français. Il prend pour cette édition 2025 une dimension particulière, en s’installant pour la première fois à Taghazout, symbole du renouveau de la région d’Agadir. Grâce à l’impulsion de l’ONMT, cette rencontre s’annonce comme un levier pour repositionner la destination dans l’esprit des professionnels français.
« Accueillir ce congrès dans la région d’Agadir illustre notre volonté de rapprocher les écosystèmes touristiques marocain et français. C’est une occasion concrète de créer des synergies, de valoriser nos territoires et d’inscrire durablement le Maroc dans les priorités des prescripteurs de voyages français» souligne Achraf Fayda, Directeur Général de l’Office National Marocain du Tourism.
Un des temps forts du programme est le workshop professionnel de ce vendredi 16 mai, pensé comme une plateforme de rencontres directes entre opérateurs marocains, hôteliers, agences réceptives, institutionnels et décideurs français. Cette journée vise à favoriser les partenariats commerciaux, faire émerger de nouveaux produits et renforcer la coopération entre les deux rives.
Au-delà des échanges professionnels, les participants ont l’opportunité de découvrir une destination en pleine transformation. Entre balnéaire, nature, sport, art de vivre et hospitalité, Taghazout incarne une des facettes du tourisme marocain que l’ONMT souhaite faire rayonner auprès des prescripteurs français.
En accueillant ce congrès au Maroc et plus particulièrement dans la région d’Agdir, l’Office réaffirme son engagement en faveur du développement du secteur touristique national dans toutes ses composantes.
Source : tourismapost.ma
Pas d’industrie touristique florissante sans lutte contre la corruption ! Lors du Forum international saoudo-maldivien pour l’intégrité dans le tourisme, Mohamed Benalilou, président de l’INPPLC, a tiré la sonnette d’alarme, soulignant la vulnérabilité de cette industrie face aux pratiques corruptives qui menacent sa pérennité.

Au cœur de cette problématique : une industrie aux multiples facettes, vulnérable par nature. En effet, souligne M. Benalilou, la complexité du secteur touristique, avec ses innombrables acteurs – des gouvernements aux entreprises privées, en passant par les institutions – crée un terrain propice aux pratiques corruptives. L'opacité et le manque de contrôle aggravent encore la situation, transformant le tourisme en un terrain propice aux pratiques de corruption qui menacent sa propre durabilité.
Un impact dévastateur sur le développement
Selon M. Benalilou, la corruption dans le tourisme n'est pas un simple «détail». Elle porte un coup fatal à l'attractivité touristique, décourage les investissements et entrave les efforts de développement. Plusieurs études internationales confirment cette tendance, classant le tourisme parmi les secteurs les plus à risque.Une approche globale et inclusive, la clé du succès
L'analyse de M. Benalilou va au-delà de la simple observation. Il met en lumière les failles structurelles qui favorisent la corruption : la complexité des procédures administratives, le pouvoir discrétionnaire de l'administration dans les décisions d'investissement et l'imbrication des intérêts dans des domaines aussi variés que l'immobilier, l'urbanisme, les services, les transports et l'environnement.Pour lutter efficacement contre la corruption, M. Benalilou prône une approche globale et inclusive, impliquant tous les acteurs du secteur. Il insiste sur la nécessité de renforcer le système touristique à travers la mise en place de stratégies claires pour consolider les fondations de l'industrie, mais aussi d’instaurer la confiance des investisseurs et des touristes en garantissant une offre touristique transparente et de qualité. Le responsable appelle aussi à faire du tourisme un moteur de développement durable et un contributeur essentiel à la croissance économique et au développement national.
Sensibilisation et transparence : les piliers d'une croissance durable
L'appel de M. Benalilou est clair : il est temps d'agir. Pour lui, lutter contre la corruption dans le tourisme n'est pas seulement une question d'éthique, c'est une nécessité pour préserver l'avenir d'un secteur vital pour l'économie mondiale et pour garantir un développement touristique durable et équitable pour tous. À ce titre, la sensibilisation aux conséquences désastreuses de la corruption est primordiale pour préserver les opportunités d'investissement et l'attractivité du secteur. De même que la transparence dans la gestion des ressources et des biens publics pour protéger le secteur contre les décisions injustifiées ou susceptibles de conflits d'intérêts, garantissant ainsi une croissance durable et équitable.Source : https://lematin.ma/