Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
Le projet de changement de la dénomination de la Région de «Souss-Massa» en «Agadir Souss-Massa» est déjà sur la table des principaux acteurs régionaux. Il est préconisé dans le cadre d’un marketing territorial visant à tirer profit de la notoriété d’Agadir. Concrètement, la demande émanera du Conseil de la région, en concertation avec l’ensemble des parties prenantes.
Le projet de changement de la dénomination de la Région de «Souss-Massa» en «Agadir Souss-Massa» est déjà sur la table des principaux acteurs régionaux. Il est préconisé dans le cadre d’un marketing territorial visant à tirer profit de la notoriété d’Agadir. Concrètement, la demande émanera du Conseil de la région, en concertation avec l’ensemble des parties prenantes.
Ce n’est qu’une question de temps avant que la dénomination de la Région soit remplacée, passant de «Souss-Massa» à «Agadir Souss-Massa». La question autour de ce changement, qualifié d’indispensable par les acteurs régionaux, est déjà sur la table des principaux opérateurs, dans le cadre d’un marketing territorial au service de l’attractivité régionale.
«Ce changement légitime, que nous voulons opérer prochainement, s’inscrit dans un souci majeur lié au marketing territorial de la Région Souss-Massa», explique Karim Achengli, président du Conseil régional. Selon lui, «Il y a tout un travail à faire dans ce sens puisque la notoriété d’Agadir peut se répercuter sur notre territoire et lui apporter de facto des répercussions notables, en mettant en valeur les principaux traits de la personnalité de la région», estime-t-il. Le constat est le même pour Driss Boutti, président de la CGEM Souss-Massa.
«La majorité des noms des grandes régions marocaines commencent par le nom de leurs chefs-lieux, sauf celle de Souss-Massa, d’où notre requête qui consiste à solliciter ce changement et rebooster ainsi la dénomination de la région, en optant pour Agadir Souss-Massa au lieu de Souss-Massa», précise-t-il. À noter que sur les 12 régions du pays, seules les dénominations de Souss-Massa et de Drâa-Tafilalet font exception.
Les arguments ne manquent pas…
Pour les acteurs régionaux, «grâce à l’insertion d’Agadir, qui dispose d’une renommée à l’international (notamment sur le plan touristique), dans cette dénomination, la région peut atteindre les objectifs escomptés en matière de marketing territorial. En effet, l’appellation actuelle ne peut rivaliser avec le degré de notoriété spontanée d’Agadir». À cet égard, les arguments ne manquent pas, selon eux.
Au-delà du fait que cette dénomination n’assouvit pas les aspirations de la région, ce changement facilitera, non seulement le développement de l’activité touristique sur le plan de la promotion touristique régionale, mais aussi la consolidation de la coopération décentralisée, tout en attirant les investissements.
Concrètement, la demande émanera du Conseil de la région, en concertation avec l’ensemble des parties prenantes, dans le cadre d’une approche participative. Par la suite, une demande officielle sera adressée au Chef du Gouvernement et au ministère de l’Intérieur pour activer les démarches afférentes à ce changement, sur le plan légal et réglementaire.
En effet, le décret n° 2-15-40 du 20 février 2015 a fixé le nombre des régions, leurs dénominations, leurs chefs-lieux ainsi que les préfectures et provinces qui les composent.
La région est portée par son chef-lieu
Aussi, pour les adeptes de ce changement, «il est primordial de comprendre que la région est portée par sa locomotive, à savoir sa capitale Agadir, qui en est le chef-lieu. C’est elle qui devra tirer les autres composantes (provinces et préfectures) afin de développer l’ensemble de l’économie du territoire». Aujourd’hui, et plus que jamais, il est clair que la définition du positionnement d’un territoire est un choix qui détermine à long terme sa stratégie de communication et son marketing territorial.
Selon les acteurs locaux, la confrontation des forces et des faiblesses de la dénomination «Souss-Massa» avec les opportunités et risques du changement, démontre que le choix porté sur «Agadir Souss-Massa» est facilement assimilable et distinctif puisque l’image de marque actuelle ne dispose pas d’assez de notoriété. La dénomination actuelle peut même être confondue avec d’autres territoires situés en Afrique du Nord, notamment Sousse en Tunisie.
Il s’agit aussi de développer, ce faisant, la notoriété de la région en matière de «navigation», allusion faite à la toile numérique et aux différents moteurs de recherche où la Région Souss-Massa dispose d’une visibilité jugée insuffisante.
Yassine Saber / Les Inspirations ÉCO
A la veille de la tenue d’une grande rencontre, organisé par le CRT Agadir SM, avec les élus et les professionnels, et les représentants de la presse, Rachid Dahmaz avait annoncé par message destiné aux administrateurs du CRT, aux élus régionaux, locaux et mais également à un maximum de professionnels et de partenaires du CRT ainsi que des opérateurs et personnes qui gravitent autour du tourisme. En ces termes :
J’ai ressenti chez chacun d’entre vous un attachement indéfectible à notre pays et un sens de sacrifice exemplaire qui rester grave dans mon cœur et qui illuminera le chemin de nos futurs et nos jeunes qui ont tant besoin et assoiffes aussi de participer à leur tours dans le développement de notre pays
J’ai malheureusement le regret de vous annoncer mon départ imminent du CRT Agadir Souss Massa pour tenter d autres aventures et achever les miennes
Je vous remercie pour les bons moments qu’on a passé ensemble et je vous demande de continuer le combat dans une ambiance d amour dont le seul but est l’intérêt de notre pays et de notre tourisme. »
Ce départ annoncé a surpris énormément de monde, dans le mesure où l’on s’attendait sa candidature pour un deuxième mandat à la tête du CRT Agadir Souss Massa. Désormais il n’en est rien, car le départ annoncé, est effectif dès le début de la semaine prochaine, en attendant qu’il soit confirmé avec le quitus lors de la future assemble générale élective du CRT. Son grand oral fait avec une finesse intellectuelle, avec un français de haut niveau, une lucidité dans la transmission des messages, était d’une réussite quasi parfaite.
La présentation du tourisme dans le Souss Massa, lors de la réunion du Beach Club, portait, en autre, en comparaison avec le tourisme à Marrakech, ( soit la première destination touristique du pays avec la première destination balnéaire du pays) fut de grand école de communication touristique. Bien chiffrée, bien logique, qui rejoint la prestation sur l’aérien à l’échelle de ces deux destinations et une excellente analyse sur le tourisme étalée sur de pratique touristique ; à plusieurs niveaux ( capacités en lits, aérien et vols, compagnies aériennes, nuitées et arrivées aux postes frontières etc...) Du beau travail conçu et exécuté par l’équipe du CRT et qui remet à leur place ceux qui prétendent que le CRT ne « fait rien ». Bravo à celle équipe façonnée par des années touristiques de terrain, depuis la création du GRIT, en 1996, à nos jours.
Lors de cette rencontre, fut une belle occasion pour rendre un grand hommage à tous ces professionnels de terrain qui avaient œuvré au développement du tourisme dans la destination balnéaire. Aussi bien ceux qui avait lancé l’associatif professionnel, à travers la création du du CPT , puis du GRIT ( Groupement Régional d’Intérêt du Tourisme) en 1996, puis à travers les Past présidents du CRT Souss Agadir Souss Massa, créé en 2004. Un acte de noblesse, de reconnaissance, à mettre sur l’actif de Rachid Dahmaz. Bref, une journée mémorable , maqué par le départ annoncé du président du CRT Agadir SM.
Nous ne sommes pas contre la candidature de Khalil, du tout, pour ce jeune professionnel que connaissons depuis qu’il a pris la charge de diriger Tafoukt. Mais que les choses se fassent dans le respect des règles du jeu, des statuts et de la règlementation en vigueur. Car à vouloir aller trop vite il y a risque de récolter des résultats Négatifs. En plus, qui a donné la procuration à ces gens pour contacter les professionnels pour les « pousser » à soutenir la candidature de Khalil ? Cela fausse les élections prévues pour le prochain président et son équipe, en donnant l’impression qu’il est imposé, pour une association régionale du tourisme qui devrait regrouper tous les professionnels, et non les désunir, en vue d’un travail positif et concret pour le développement du tourisme, principalement , après la crise dramatique due au Covid 29.
IL est à savoir que lors de l’annonce des candidatures pour le poste du Président du CRT ; il n ‘y a que deux options. La première c’est la probabilité d’avoir deux ou trois candidats, donc un vote obligé, par les administrateurs du CR. Vol éventuellement serré qui finira par dégager celui qui aura le plus de voix. Donc désigner le futur président. Ou alors il n’y aurait que l’unique candidature de K. Tizniti, et là le choix s’impose à tous. Et le nouveau président serait élu haut la main. ET ne pourrait être que Lui. Nous serons les premiers à le féliciter, à l’encourager et à le soutenir, pour un vrai travail de développement du tourisme régional. ET rien d’autre. Comme nous l’avons toujours fait avec assiduité, auprès de tous les Past Présidents du CRT.
Ceci pour la continuité du travail et de l’engagement responsable et dynamique, que nous concrétisons à travers nos articles pour contribuer au développement touristique de la destination, que nous avions entamé depuis 1984 et nous a conduit à vivre la naissance du CPT ( Conseil Provincial du tourisme) avec la présidente de De Feu Belahcen, et selon l’implication de Feu Abdelkrim Laâroussi, gouverneur d’Agadir à l’époque. Puis la transformation du CPT en GRIT en 1996 et enfin derrière transformation en CRT, en 2004, avec Said Scally comme premier président.
La feuille de route continue de nos jours pour Développement Touristique Régional qui englobe : Promotion, Aérien Produit et Animation, le fameux PAPA, créé par le CRT. Mais également à travers une écoute importante des grands professionnels de la destination et des Post Présidents du CRT. Mais aussi une parfaite coordination avec les élus régions et locaux de la Commune Urbaine d’Agadir.
A bon entendeur Salut.
Med RIAL
Après deux ans d’absence due à la pandémie de la Covid-19, et puisque les conditions ne permettent toujours pas de tenir la 23e édition du festival de Gnaoua, ses organisateurs l’ont réinventé pour le faire devenir le Gnaoua Festival Tour, une caravane musicale qui sillonnera le Maroc durant tout le mois de juin.
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Après deux ans d’absence due à la pandémie de la Covid-19, et puisque les conditions ne permettent toujours pas de tenir la 23e édition du festival de Gnaoua, ses organisateurs l’ont réinventé pour le faire devenir le Gnaoua Festival Tour, une caravane musicale qui sillonnera le Maroc durant tout le mois de juin.
Du 3 au 24 juin, la caravane offrira 12 concerts exclusifs à Essaouira, 9 à Casablanca, 5 à Marrakech, et 5 à Rabat. À Essaouira, le festival se tiendra place El Menzeh et à Dar Souiri les 3 et 4 juin, puis à Marrakech, au Megarama et au Centre Les Étoiles de Jamaa El Fna les 9 et 10 juin, à Casablanca, au Stade Mohammed V et à l’Uzine les 16, 17 et 19 juin et enfin à Rabat, au Théâtre national Mohammed V et à La Renaissance les 23 et 24 juin. Cette tournée se tiendra selon les jauges qui seront autorisées et les conditions d’accueil du public en vigueur, précisent les organisateurs.
Le Gnaoua Festival Tour a été pensé pour aller au plus près de son public et les concerts et les lieux ont été pensés pour répondre aux attentes de toutes les générations avec des espaces en plein air, des salles de spectacle, des lieux conviviaux pour permettre au plus grand nombre de retrouver la magie du festival.
Le maitre mot de cette édition du festival sera la fusion, ajoute-t-on, précisant que les maîtres de cérémonie maâlems gnaoua fusionneront avec plus de 100 artistes venus du jazz, blues, musique africaine, folk, funk, etc. pour proposer un «véritable arc-en-ciel musical» pour la moitié des concerts.
Près de 13 concerts de musique gnaoua traditionnelle sont également programmés, rassemblant les plus grands noms de la tagnaouite de chaque région.