LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES
La une
Nouveau / Revalorisation de la corniche d’Agadir : déploiement de l’architecture d’éclairage télégéré
04/07/2023 Med Mohamed Rial
La ville Ocre s'apprête, encore une fois, à accueillir les concierges Clefs d'Or de l’Union International des Concierges d’Hôtels dit UICH, le cercle des plus pointus connaisseurs de la clientèle d’un hôtel.
En effet, le Maroc a été élu pour accueillir le Conseil d’Administration du 67eme Congrès International des clefs d’or, qui permettra à Marrakech de recevoir plus de 150 concierges Clefs d’or, et à l’Association des Clefs d’Or Maroc de montrer à l’ensemble des participants comment Marrakech consolide sa position de destination touristique mondiale, et aussi de promouvoir ses infrastructures touristiques.

Le Maroc a eu l’honneur d’organiser les congrès internationaux depuis1955 (Marrakech / Paris), puis 1964 (Tanger / Casa), aussi en 1992 (Tanger / Marrakech) et en 2004 (Tanger / Fès) sous le haut patronage de sa Majesté.
De plus, à la même fréquence, le Maroc a organisé, en 2018 à Marrakech, le 4ème congrès paneuropéen incluant le Maroc, la France, la Belgique, la grande Bretagne, l'Irlande, la Suisse, Luxembourg et la Hollande. Ce congres a connu un succès incomparable.
PRESENTATION DE L’ORGANISATEUR :
Les Clefs d’Or Maroc est une organisation à but non lucratif de concierges dévoués de partout à travers le Maroc, chapeautée par l’Union Internationale des Concierges d’Hôtels (UICH). Cet organisme regroupe plus de 4000 membres dans plus de 80 pays et 530 villes; ceux-ci forment un réseau à travers le monde qui a pour but d’offrir le summum en matière de services personnalisés à tous les invités séjournant dans leurs établissements.
L’association Clefs d'Or repose sur deux principes directeurs : « Le service par l'amitié́ » et « Le service par l’excellence ». Aucune concurrence n’existe entre les lieux de travail étant donné l’esprit de camaraderie et le travail d’équipe permettent aux membres de servir leurs invités au mieux de leur capacité́ en utilisant toutes les ressources possibles.
De plus, à la même fréquence, le Maroc a organisé, en 2018 à Marrakech, le 4ème congrès paneuropéen incluant le Maroc, la France, la Belgique, la grande Bretagne, l'Irlande, la Suisse, Luxembourg et la Hollande. Ce congres a connu un succès incomparable.
PRESENTATION DE L’ORGANISATEUR :
Les Clefs d’Or Maroc est une organisation à but non lucratif de concierges dévoués de partout à travers le Maroc, chapeautée par l’Union Internationale des Concierges d’Hôtels (UICH). Cet organisme regroupe plus de 4000 membres dans plus de 80 pays et 530 villes; ceux-ci forment un réseau à travers le monde qui a pour but d’offrir le summum en matière de services personnalisés à tous les invités séjournant dans leurs établissements.
L’association Clefs d'Or repose sur deux principes directeurs : « Le service par l'amitié́ » et « Le service par l’excellence ». Aucune concurrence n’existe entre les lieux de travail étant donné l’esprit de camaraderie et le travail d’équipe permettent aux membres de servir leurs invités au mieux de leur capacité́ en utilisant toutes les ressources possibles.
Le Comité d’Organisation de cet événement est composé de :
M. Youssef Mamouni: M. Réda Benjaroud: Mme Souad Benha: Mme Zineb Meliani: Mme Khadija Khaou: Mme Saida Loutou:
M. Jaafar Lakhssassi:
M. Abdessadek Khanjari: M. Adil Mzireg:
M. Abdellah Khalifi: M. Omar Asdaf:
AU PROGRAMME :
M. Jaafar Lakhssassi:
M. Abdessadek Khanjari: M. Adil Mzireg:
M. Abdellah Khalifi: M. Omar Asdaf:
AU PROGRAMME :
Président /Le Meridien N’fis Marrakech
Vice Président / Le Sofitel Marrakech
Secrétaire Générale /Fairmont Royal Palm Marrakech
Assistante Secrétaire Générale / La Mamounia Marrakech
Trésorier Général / Naoura Barriere Marrakech
Secrétaire délégué Pôle Marrakech et sud du Maroc/La Sultana Marrakech Secrétaire délégué Pôle Casablanca et Nord du Maroc / The View Rabat Responsable d’Adhésion / Les Jardins de la Koutoubia Marrakech
Chargé de communication Nationale / Le Palais Selman Marrakech
Chargé des Relations Publiques et actions caritatives/ Le Royal Mansour Marrakech Conseiller / Atlantique Palace Agadir
Vice Président / Le Sofitel Marrakech
Secrétaire Générale /Fairmont Royal Palm Marrakech
Assistante Secrétaire Générale / La Mamounia Marrakech
Trésorier Général / Naoura Barriere Marrakech
Secrétaire délégué Pôle Marrakech et sud du Maroc/La Sultana Marrakech Secrétaire délégué Pôle Casablanca et Nord du Maroc / The View Rabat Responsable d’Adhésion / Les Jardins de la Koutoubia Marrakech
Chargé de communication Nationale / Le Palais Selman Marrakech
Chargé des Relations Publiques et actions caritatives/ Le Royal Mansour Marrakech Conseiller / Atlantique Palace Agadir
Jour 1 : Arrivée des invités & hébergement au Méridien N’fis. Diner de réception à Buddha Bar.
Jour 2 : Réunion au Es Saadi Palace / Visite de ville pour le conjoint. Diner authentique au White Camel au Désert d’Agafay.
Jour 3 : Réunion Es Saadi Palace / Cours de cuisine à la ferme du Chef Tarek pour le conjoint. Diner de Gala au Palais Gharnata.
Jour 4 : Départ des invités.
Source : Communiqué
Jour 2 : Réunion au Es Saadi Palace / Visite de ville pour le conjoint. Diner authentique au White Camel au Désert d’Agafay.
Jour 3 : Réunion Es Saadi Palace / Cours de cuisine à la ferme du Chef Tarek pour le conjoint. Diner de Gala au Palais Gharnata.
Jour 4 : Départ des invités.
Source : Communiqué
Bien que les frontières aériennes soient ouvertes, la relance du secteur du tourisme reste tributaire des moyens mis à disposition et de l’exigence du passeport vaccinal et du test PCR. Une “contrainte” qui ne permet pas aux professionnels de récupérer leurs parts de marché naturel, estime Hamid Bentahar.
- L’Office National Marocain du Tourisme (ONMT) et la Confédération Nationale du Tourisme (CNT) ont signé, vendredi dernier, une convention, la première du genre, portant sur plusieurs volets déterminants pour la relance, qui concernent aussi bien l’attractivité du secteur que le tourisme interne et l’innovation. Quels objectifs vous êtes-vous assignés ?
- Cette convention a pour objectif de structurer et renforcer la co-construction et la synchronisation des actions entre l’ONMT et la CNT. A travers ce partenariat, nous souhaitons mutualiser nos efforts pour la reconquête des marchés en créant des Task Forces publiques et privées pour aller ensemble de manière synchronisée et collaborative vers les marchés émetteurs majeurs pour booster et accélérer la relance, pour explorer de nouveaux segments et développer de nouveaux réservoirs de croissance.
Donc, nous mettons en place une plateforme collaborative avec les fédérations, les associations et nos membres directs au service de l’ensemble des professionnels. Nous nous donnons pour mission, par exemple, l’accompagnement dans la connaissance de l’évolution de la demande par marché et la formation pour la distribution, la commercialisation, la mise à niveau digitale, la e-réputation, et en sensibilisant l’ensemble de l’écosystème à l’importance du Big Data aussi bien pour les producteurs que pour les réutilisateurs des données.
Cette première convention a posé les bases de la collaboration, nous allons désormais lancer des ateliers de travail et de co-construction avec nos membres, les experts par segment et par marché pour les impliquer dans le développement des actions concrètes pour booster durablement notre performance collaborative.
- Quels sont, à votre avis, les principaux chantiers à mener pour renforcer l’attractivité du secteur du tourisme ?
- Depuis la réouverture de l’espace aérien, l’ensemble de la profession est à pied d’oeuvre pour renforcer l’attractivité, chacun à son niveau, à renforcer les contacts avec les partenaires internationaux pour booster la relance.
À côté de cela, l’ONMT a fait un travail remarquable et considérable pour l’aérien et la promotion. Cependant, il y a encore une contrainte qui ne nous permet pas de récupérer nos parts de marché naturel, à savoir l’exigence du passeport vaccinal et du test PCR aux personnes doublement ou triplement vaccinées, alors que nos concurrents demandent aujourd’hui l’un ou l’autre.
Nous espérons un alignement des conditions d’accès sur ce qui a été annoncé récemment au niveau maritime. Nous devons aller plus vite dans le redressement et la relance. A ce jour, nous sommes à 50% de notre potentiel réel de vente. L’autre moitié de notre part de marché dépend de cette procédure qui freine cette envie collective de permettre à nos professionnels de retravailler au mieux et au plus vite.
- Avant de parler de relance, pouvez-vous nous dresser un état des lieux des pertes occasionnées par la pandémie ?
- Les acteurs du tourisme ont passé deux années extrêmement difficiles, En chiffres, ce secteur faisait 140 milliards de recettes par an. Nous avons perdu plus que 80% en 2020 et 70% en 2021. Il nous reste du chemin à parcourir avant un retour à la normale et nous savons d’ores et déjà que des défis importants et des mutations profondes nous attendent.
Une tension importante sur la trésorerie des entreprises touristiques, la dégradation de leurs fonds propres, la hausse importante des coûts, l’arrivée des échéances de crédit ayant servi principalement des charges non productives. Mais nous devons rester optimistes, continuer à travailler avec le ministère pour optimiser les mesures de sauvegarde, pour trouver d’autres solutions qui viendront compléter la batterie de mesures de soutien pour prolonger l’effort et préserver les emplois et les entreprises.
Nous devons rester optimistes car la demande sur le tourisme est là et l’envie du Maroc n’a jamais été aussi forte. Notre pays, cité en exemple à l’international, a gagné en crédibilité en cette période grâce à sa politique de lutte contre la crise sanitaire.
- Une reprise de l’activité touristique a été enregistrée quelques jours après la réouverture, début février, des frontières et elle a concerné le secteur du tourisme en général (hôtels, agences de voyage, transport touristique, loueurs de voitures). On est loin des chiffres enregistrés en 2019 ?
- Je suis persuadé qu’en mettant en place les moyens nécessaires, on pourrait y revenir en 2023 ou 2024 au plus tard, Faute de quoi, on risque de ne pas atteindre ces chiffres avant 2025 ou 2026. En moyenne, on a une à deux années pour que le secteur touristique surmonte la crise. Toutefois, il y a des segments qui vont se remettre plus vite.
En premier lieu se trouvent les voyages de loisir, puis le segment affaires individuelles en deuxième position. Pour tout ce qui est congrès, séminaires et organisation d’événements de grande taille, nous devons faire plus d’efforts collectivement.
- Lors de la période de fermeture des frontières, le segment du tourisme interne est revenu au devant de la scène, est-ce que la mise en place d’une offre dédiée aux nationaux est toujours d’actualité ou est-elle passée au second plan avec le retour des touristes internationaux ?
- Le tourisme national est le premier client des professionnels du tourisme. Nous devons continuer à le développer. Justement dans le cadre de notre convention avec l’ONMT, le tourisme interne fait partie de nos priorités. Pour être une grande destination touristique, il faut avoir un tourisme interne qui soit important.
Nous avons fait de nombreuses recommandations pour stimuler la demande interne comme l’incitation au voyage par la mise en place de chèques vacances défiscalisés et la régionalisation du calendrier des vacances scolaires. La promotion, appui et incitation au développement d’une offre d’animation diversifiée, de qualité, et d’expériences de familles adaptée au pouvoir d’achat des citoyens marocains. Nous espérons qu’elles seront mises en oeuvre le plus rapidement possible.
- Les établissements touristiques ne sont certes pas surbookés, mais on est rassurés et on reprend petit à petit. Prévoyez-vous une saison estivale meilleure ?
- Oui, je suis confiant pour la saison estivale qui arrive à grands pas, à condition de continuer d’améliorer les conditions d’accès, notamment la contrainte de l’exigence du PCR et du Pass vaccinal même pour les personnes avec un schéma vaccinal complet.
Nous savons que les fondamentaux de notre pays sont très bons, que nous sommes aux portes du premier marché émetteur mondial et qu’avec une politique plus synchronisée et un plan plus offensif, nous pouvons et nous devons provoquer une rupture dans le rythme de croissance, de création d’emplois et de génération de devises.
- Cette convention a pour objectif de structurer et renforcer la co-construction et la synchronisation des actions entre l’ONMT et la CNT. A travers ce partenariat, nous souhaitons mutualiser nos efforts pour la reconquête des marchés en créant des Task Forces publiques et privées pour aller ensemble de manière synchronisée et collaborative vers les marchés émetteurs majeurs pour booster et accélérer la relance, pour explorer de nouveaux segments et développer de nouveaux réservoirs de croissance.
Donc, nous mettons en place une plateforme collaborative avec les fédérations, les associations et nos membres directs au service de l’ensemble des professionnels. Nous nous donnons pour mission, par exemple, l’accompagnement dans la connaissance de l’évolution de la demande par marché et la formation pour la distribution, la commercialisation, la mise à niveau digitale, la e-réputation, et en sensibilisant l’ensemble de l’écosystème à l’importance du Big Data aussi bien pour les producteurs que pour les réutilisateurs des données.
Cette première convention a posé les bases de la collaboration, nous allons désormais lancer des ateliers de travail et de co-construction avec nos membres, les experts par segment et par marché pour les impliquer dans le développement des actions concrètes pour booster durablement notre performance collaborative.
- Quels sont, à votre avis, les principaux chantiers à mener pour renforcer l’attractivité du secteur du tourisme ?
- Depuis la réouverture de l’espace aérien, l’ensemble de la profession est à pied d’oeuvre pour renforcer l’attractivité, chacun à son niveau, à renforcer les contacts avec les partenaires internationaux pour booster la relance.
À côté de cela, l’ONMT a fait un travail remarquable et considérable pour l’aérien et la promotion. Cependant, il y a encore une contrainte qui ne nous permet pas de récupérer nos parts de marché naturel, à savoir l’exigence du passeport vaccinal et du test PCR aux personnes doublement ou triplement vaccinées, alors que nos concurrents demandent aujourd’hui l’un ou l’autre.
Nous espérons un alignement des conditions d’accès sur ce qui a été annoncé récemment au niveau maritime. Nous devons aller plus vite dans le redressement et la relance. A ce jour, nous sommes à 50% de notre potentiel réel de vente. L’autre moitié de notre part de marché dépend de cette procédure qui freine cette envie collective de permettre à nos professionnels de retravailler au mieux et au plus vite.
- Avant de parler de relance, pouvez-vous nous dresser un état des lieux des pertes occasionnées par la pandémie ?
- Les acteurs du tourisme ont passé deux années extrêmement difficiles, En chiffres, ce secteur faisait 140 milliards de recettes par an. Nous avons perdu plus que 80% en 2020 et 70% en 2021. Il nous reste du chemin à parcourir avant un retour à la normale et nous savons d’ores et déjà que des défis importants et des mutations profondes nous attendent.
Une tension importante sur la trésorerie des entreprises touristiques, la dégradation de leurs fonds propres, la hausse importante des coûts, l’arrivée des échéances de crédit ayant servi principalement des charges non productives. Mais nous devons rester optimistes, continuer à travailler avec le ministère pour optimiser les mesures de sauvegarde, pour trouver d’autres solutions qui viendront compléter la batterie de mesures de soutien pour prolonger l’effort et préserver les emplois et les entreprises.
Nous devons rester optimistes car la demande sur le tourisme est là et l’envie du Maroc n’a jamais été aussi forte. Notre pays, cité en exemple à l’international, a gagné en crédibilité en cette période grâce à sa politique de lutte contre la crise sanitaire.
- Une reprise de l’activité touristique a été enregistrée quelques jours après la réouverture, début février, des frontières et elle a concerné le secteur du tourisme en général (hôtels, agences de voyage, transport touristique, loueurs de voitures). On est loin des chiffres enregistrés en 2019 ?
- Je suis persuadé qu’en mettant en place les moyens nécessaires, on pourrait y revenir en 2023 ou 2024 au plus tard, Faute de quoi, on risque de ne pas atteindre ces chiffres avant 2025 ou 2026. En moyenne, on a une à deux années pour que le secteur touristique surmonte la crise. Toutefois, il y a des segments qui vont se remettre plus vite.
En premier lieu se trouvent les voyages de loisir, puis le segment affaires individuelles en deuxième position. Pour tout ce qui est congrès, séminaires et organisation d’événements de grande taille, nous devons faire plus d’efforts collectivement.
- Lors de la période de fermeture des frontières, le segment du tourisme interne est revenu au devant de la scène, est-ce que la mise en place d’une offre dédiée aux nationaux est toujours d’actualité ou est-elle passée au second plan avec le retour des touristes internationaux ?
- Le tourisme national est le premier client des professionnels du tourisme. Nous devons continuer à le développer. Justement dans le cadre de notre convention avec l’ONMT, le tourisme interne fait partie de nos priorités. Pour être une grande destination touristique, il faut avoir un tourisme interne qui soit important.
Nous avons fait de nombreuses recommandations pour stimuler la demande interne comme l’incitation au voyage par la mise en place de chèques vacances défiscalisés et la régionalisation du calendrier des vacances scolaires. La promotion, appui et incitation au développement d’une offre d’animation diversifiée, de qualité, et d’expériences de familles adaptée au pouvoir d’achat des citoyens marocains. Nous espérons qu’elles seront mises en oeuvre le plus rapidement possible.
- Les établissements touristiques ne sont certes pas surbookés, mais on est rassurés et on reprend petit à petit. Prévoyez-vous une saison estivale meilleure ?
- Oui, je suis confiant pour la saison estivale qui arrive à grands pas, à condition de continuer d’améliorer les conditions d’accès, notamment la contrainte de l’exigence du PCR et du Pass vaccinal même pour les personnes avec un schéma vaccinal complet.
Nous savons que les fondamentaux de notre pays sont très bons, que nous sommes aux portes du premier marché émetteur mondial et qu’avec une politique plus synchronisée et un plan plus offensif, nous pouvons et nous devons provoquer une rupture dans le rythme de croissance, de création d’emplois et de génération de devises.
Source : Lopinion.ma Recueillis par Safaa KSAANI
Dans le cadre de sa stratégie de promotion touristique de la région Souss Massa, et du plan d'action conjoint CRT/Région SM, notamment l’axe relatif au renforcement des capacités des acteurs du secteur, et en raison du rôle capital des conducteurs de taxis en tant que vitrine de la Région d’Agadir Souss Massa, le Conseil Régional du Tourisme Agadir Souss Massa « CRT Agadir SM » a signé une convention de partenariat unique avec l’Ecole Supérieure de l’Education et de la Formation (ESEF), Université Ibn Zohr, relative à la formation en langues étrangères (anglais /allemand) en faveur des conducteurs de taxis opérant dans le secteur touristique et ayant une relation directe avec les touristes.
La cérémonie de signature, a été présidée par Rachid Dahmaz, Président du CRT d'Agadir Souss Massa, Abdelaziz BENDOU, Président de l'Université Ibn Zohr, Abderrahmane AMSIDDER, Directeur de L’Eole Supérieure de l’Education et de la Formation (ESEF), et Belaid OUANAM, Président de l'Association TAWADA des conducteurs de taxis d’Agadir. Cérémonie déroulée , le samedi 23 avril 2022, au centre de formation de l'ESEF.
Une formation qualifiante, oh combien nécessaire , qui en fait devait de faire il y a des années. IL n'est jamais trop tard pour bien faire. Soutenues financièrement par le Conseil Régional Souss Massa et le CRT Agadir SM, cette formation vise à renforcer et améliorer les compétences linguistiques et communicatives des conducteurs de taxis du secteur touristique. C'est une initiative première du genre au Maroc, avec comme objectif de former 1000 chauffeurs, dans les deux langues ; anglais et allemand.
La formation débute par le choix et une sélection de 150 chauffeurs qui vont être formés et suivis à l'ESEF, par des professeurs spécialisés dans l'Education et la formation. En plus de la formation linguistique , les chauffeurs vont acquérir des notions générales sur la destination Agadir particulièrement et la Région Souss Massa en général, à travers des informations pratiques et actuelles , pour les transmettre, en cas de besoin aux clients: touristes internationaux et visiteurs nationaux.
Les chauffeurs de taxis porteront une tenue distinctive lors de leur exercice du métier. Les taxis afficheront le logo de la formation ainsi que la langue utilisée par les chauffeurs, pour mieux faciliter le contact client:chauffeur de taxi. Cette formation va valoriser le métier des chauffeurs, dans une destination touristique qui connaît un flux de visiteurs avides de prendre le pouls de la ville et d'apprendre , de la bouche des chauffeurs, les premières informations pratiques et usuelles.
Initiative très louable et très concluante, qui vient une fois de la destination Agadir ( comme celle de la création d'un CRT il y a des années) et qu'il faut génraliser dans les autres destinations touristiques: Marrakech, Fès, Casablanca, Tanger etc...
Med RIAL
Une formation qualifiante, oh combien nécessaire , qui en fait devait de faire il y a des années. IL n'est jamais trop tard pour bien faire. Soutenues financièrement par le Conseil Régional Souss Massa et le CRT Agadir SM, cette formation vise à renforcer et améliorer les compétences linguistiques et communicatives des conducteurs de taxis du secteur touristique. C'est une initiative première du genre au Maroc, avec comme objectif de former 1000 chauffeurs, dans les deux langues ; anglais et allemand.
La formation débute par le choix et une sélection de 150 chauffeurs qui vont être formés et suivis à l'ESEF, par des professeurs spécialisés dans l'Education et la formation. En plus de la formation linguistique , les chauffeurs vont acquérir des notions générales sur la destination Agadir particulièrement et la Région Souss Massa en général, à travers des informations pratiques et actuelles , pour les transmettre, en cas de besoin aux clients: touristes internationaux et visiteurs nationaux.
Les chauffeurs de taxis porteront une tenue distinctive lors de leur exercice du métier. Les taxis afficheront le logo de la formation ainsi que la langue utilisée par les chauffeurs, pour mieux faciliter le contact client:chauffeur de taxi. Cette formation va valoriser le métier des chauffeurs, dans une destination touristique qui connaît un flux de visiteurs avides de prendre le pouls de la ville et d'apprendre , de la bouche des chauffeurs, les premières informations pratiques et usuelles.
Initiative très louable et très concluante, qui vient une fois de la destination Agadir ( comme celle de la création d'un CRT il y a des années) et qu'il faut génraliser dans les autres destinations touristiques: Marrakech, Fès, Casablanca, Tanger etc...
Med RIAL
Par Med Mohamed Rial le Dimanche 24 Avril 2022
Nouveaux profils de pseudo-journalistes:
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#Les angles morts d’une success story
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#ObservatoireduTourisme
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Achraf Fayda à Agadir
Adil Douiri
aérien
Aérien
Aérien / ONMT
aérien Agadir 2 000 000 ième passager
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Fès
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Marrakech
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