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Sachant qu’on estime à 1,3 milliard dans le monde le nombre de personnes ayant un handicap important, l’OMT a une fois de plus collaboré avec des partenaires clé pour rendre le tourisme encore plus accessible à tous.
La Conférence de l'OMT sur le tourisme accessible s'est tenue pour la deuxième fois à Saint-Marin (16-17 novembre 2023), sous l'impulsion du Ministère italien du tourisme et en partenariat avec le Centre européen de ressources en matière d'accessibilité – AccessibleEU, une initiative phare de la Commission européenne. La Conférence a débouché sur le programme d'action de Saint-Marin, lequel offre un plan de marche clair pour la prise en compte du handicap dans chacun des pans du secteur du tourisme.
Améliorer l'accessibilité pour les destinations, les entreprises et les personnes
Depuis que Saint-Marin a accueilli la Conférence pour la première fois, en 2014, de nombreuses destinations et entreprises ont accompli d'immenses progrès pour améliorer l'accessibilité, rendant le tourisme plus universel.
Lors de la rencontre de cette année, sur deux jours, les plus de 200 participants ont abordé les avancées réalisées sur le plan des politiques, comme la norme internationale ISO 21902, englobant aussi bien les populations réceptrices que les visiteurs et couvrant toute la chaîne de valeur du tourisme. Une Table ronde ministérielle a réuni Saint-Marin, l'Italie, la République de Corée, l'Ouzbékistan, la République tchèque et Israël et débattu du rôle des gouvernements pour promouvoir l'accessibilité au moyen de politiques, de stratégies et de normes.
L'innovation dans le domaine du tourisme accessible a été l'un des thèmes principaux. De nouvelles solutions ont été présentées en matière d'accès aux transports, aux loisirs, aux réunions et congrès et aux services touristiques. On peut citer les exemples de SEATRAC, pour que les personnes en fauteuil roulant puissent prendre des bains de mer en Grèce ; une signalétique en Braille généralisée en ville et la certification des premiers guides touristiques non-voyants dans la ville du Cap ; ou encore la promenade en bord de mer totalement accessible de Rimini.
La Conférence a permis de renforcer les réseaux internationaux et de faire voir que Saint-Marin est une destination inclusive et une référence dans le domaine du tourisme accessible, et c'est le seul État membre de l'OMT à avoir accueilli deux conférences internationales sur le tourisme accessible.
Des opportunités à exploiter
Toutefois, l'accessibilité n'est toujours pas considérée comme un enjeu de taille par toutes les destinations, alors que l'on parle d'un marché de 1,3 milliard de personnes ayant un handicap important (2023) et que l'on estime que 1 personne sur 6 atteindra l'âge de 65 ans d'ici 2050. En Europe seulement, les « baby-boomers » représentent déjà plus d'un tiers de la population de l'Union européenne (UE) et 70 % des ressortissants de l'UE ayant un handicap ont les moyens financiers de voyager.
Les spécialistes ont discuté des meilleurs moyens de répondre à ce marché en plein essor et de proposer des expériences touristiques dans l'esprit de la « conception universelle » qui soient ouvertes à toutes et à tous, indépendamment du handicap. Les débats ont porté également sur l'importance de la capacité d'inclusion sociale et de l'accessibilité pour le tourisme durable et sur les immenses retombées économiques à attendre, pour le secteur, de la mise en place de mesures d'amélioration de l'accès.
Programme d'action de Saint-Marin 2030
Le programme d'action marquera un « avant » et un « après » dans la prise en compte du handicap et la contribution du tourisme aux objectifs de développement durable, assorti de l'engagement pris par les participants à la Conférence d'obtenir des résultats concrets.
Il comprend des mesures pour étendre la formation, mettre au point des systèmes de mesure et sensibiliser la filière aux avantages d'un lieu de travail ouvert à la diversité.
Les parties prenantes aligneront leurs stratégies de marketing et de vente et utiliseront des solutions numériques pour que les expériences accessibles soient à la portée de tous les consommateurs et assurer la prise en compte généralisée de l'accessibilité dans le développement des produits et dans les processus de prise de décision.
Comme suite à la Conférence, le Recueil de meilleures pratiques exposées à Saint-Marin sera publié par l'OMT en 2024, en collaboration avec AccessibleEU et ENAT.
D'autres études paraîtront également ces prochaines années consacrées à l'accessibilité dans le tourisme culturel et le tourisme de nature, les solutions numériques et d'autres bonnes pratiques.
LIENS UTILES :
Organisation mondiale du tourisme
La vision de la direction de l'OMT reconnaît les défis les plus pressants auxquels le tourisme est confronté et identifie la capacité du secteur à les surmonter et à susciter un changement positif plus large, notamment les possibilités qu'offre le tourisme responsable pour faire progresser les 17 Objectifs de développement durable (ODD).
Les Membres de l'OMT ont approuvé la Vision de la direction du Secrétaire général, qui vise à positionner le tourisme comme une priorité politique, à prendre la tête de la création de connaissances, à renforcer la capacité de l'Organisation en établissant de nouveaux partenariats plus solides et à offrir une meilleure valeur aux Membres existants tout en augmentant le nombre d'adhérents.
Pour concrétiser la Vision de la direction, l'action de l'OMT s'articule autour de cinq piliers distincts :
- rendre le tourisme plus intelligent en célébrant l'innovation et en dirigeant la transformation numérique du secteur ;
- rendre le tourisme plus compétitif à tous les niveaux en encourageant l'investissement et en favorisant l'esprit d'entreprise ;
- créer des emplois plus nombreux et de meilleure qualité et proposer des formations pertinentes ;
- renforcer la résilience et promouvoir la sécurité et la fluidité des voyages ; et
- exploiter le potentiel unique du tourisme pour protéger le patrimoine culturel et naturel et soutenir les communautés sur le plan économique et social.
Organisation internationale chef de file pour le tourisme, l’OMT plaide la cause du tourisme entendu comme un moteur de la croissance économique, du développement inclusif et de la durabilité environnementale. Elle guide et appuie le secteur pour faire avancer le savoir et les politiques de tourisme dans le monde entier.
L’OMT encourage la mise en application du Code mondial d’éthique du tourisme, pour porter à son maximum la contribution socioéconomique du tourisme tout en réduisant à un minimum ses possibles impacts négatifs, et s’attache à promouvoir le tourisme en tant qu’instrument pour atteindre les objectifs de développement durable (ODD), avec pour finalité de faire reculer la pauvreté et de favoriser le développement durable partout dans le monde.
L’OMT s’emploie à produire des analyses du marché, à promouvoir les politiques et les instruments à l’appui d’un tourisme compétitif et durable, à favoriser l’éducation et la formation au tourisme, et à faire du tourisme un outil efficace au service du développement grâce à des projets d’assistance technique dans plus de 100 pays à travers le monde.
L’OMT compte parmi ses Membres 160 pays, 6 Membres associés et plus de 500 Membres affiliés représentant le secteur privé, des établissements d’enseignement, des associations touristiques et des autorités locales du tourisme.
L’objectif de ce colloque international multidisciplinaire, organisé par l’Ecole doctorale de la faculté des Sciences de Gestion d’Universiapolis-Université Internationale d’Agadir les 16-17 avril 2024, est d’engager une réflexion économique et territoriale autour de la reconstruction post-catastrophe naturelle des territoires touristiques. Le simple constat d’une récurrence des catastrophes naturelles suffit à légitimer une réflexion sur la prise en compte des phénomènes de risque dans l’aménagement et la gestion des territoires touristiques.
Une table ronde sera organisée dans le cadre du colloque et réunira le Pr. Bernard Pecqueur de l’université de Grenoble Alpes, le Pr. Pierre-Antoine Landel de l’université de Grenoble Alpes et le Pr. Hassan Faouzi de l’université internationale d’Agadir.
Les textes retenus feront l’objet d’une publication.
Ce colloque est ouvert à des propositions du monde académique, institutionnel, professionnel et associatif.
Il privilégiera plusieurs axes thématiques :
- Territoires touristiques post-catastrophes et créativité
- Territoires touristiques post-catastrophes et intelligence artificielle
- Territoires touristiques post-catastrophes et innovation sociale
- Territoires touristiques, patrimoine culturel et risques majeurs
- Patrimoine culturel bâti, risques naturels et innovation
- Les patrimoines touristiques historiques, culturels comme une valeur ajoutée d’un territoire à préserver
- Les patrimoines touristiques historiques, culturels, acteurs et aménagement de l’espace
- L’économie touristique, grille de lecture de la reconstruction
- Politiques de gestion des risques, réduction de la vulnérabilité et augmentation de la résilience
- Le tourisme comme enjeu pour les acteurs de la reconstruction du territoire
- Territoires touristiques : risques, économie, sociétés et reconstructions post-catastrophe
- Le patrimoine touristique : ressource ou richesse ?
- Territoires touristiques : la reconstruction comme opportunité ?
- Entrepreneuriat social et territoires post-catastrophe
- L’innovation sociale et dynamique post-catastrophe des territoires touristiques de montagne
- Dynamiques sociétales et reconstruction post-catastrophe des territoires touristiques
- Sécurité et attractivité touristiques des territoires
- Territoires touristiques à risques et design social
- ESS et tourisme post-catastrophes dans les milieux ruraux
- Place de l’ESS dans le tourisme post-catastrophes naturelles
- Tourisme post-catastrophes et initiatives locales
- Entreprenariat touristique et développement des territoires touristiques post-catastrophes naturelles
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Modalités de soumission
Les propositions de communication doivent être envoyées en format Word à l’adresse : cit2024@universiapolis.ma
La langue de travail du colloque sera le français, l’anglais, l’espagnol et l’arabe.
Les propositions de communication comporteront :
- Un titre
- Un résumé (maximum 2800 signes)
- Prénom et nom de l’auteur-e ou des auteur-e-s (avec l’indication de son/leur rattachement institutionnel ainsi que le statut et E-mail)
- Mots-clés : 5 à 7 « mots-clés »
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Les propositions seront évaluées en double aveugle.
Instructions aux auteurs
Pour les personnes dont la proposition de communication sera retenue, un articles comprenant entre 25 000 et 50 000 signes sera attendu.
Calendrier
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05 janvier 2024: date limite de réception des résumés
- 16 mars 2024: réception des textes définitifs
- 16 avril 2024: date du colloque
Comité scientifique
- Abdelhaq EL BEKKALI, Universiapolis-Université Internationale d’Agadir
- Abdelhaq MOHTAJ, Institut supérieur international de tourisme (ISIT), Tanger
- Abderrazzak BEN ATAYA, Institut supérieur international de tourisme (ISIT), Tanger
- Adel ALOUI, ISTEC Business School Paris
- Ali SMIDA, Sorbonne Paris Nord
- Bernard PECQUEUR, Université de Grenoble Alpes
- Castaño Maria Ángeles CASTAÑO MADROÑAL, Université de Séville
- Dominique BENCHERQUI, ISTEC Business School Paris
- Ferdaous GMIRA, FEG Settat
- Hassan FAOUZI, Universiapolis-Université internationale d’Agadir
- Hicham ECHATTABI, Université Cadi Ayyad
- Hicham EL BAYED, Université Hassan Premier de Settat
- Jamal EL ACHMIT, Universiapolis-Université internationale d’Agadir
- Khalid EL HOUSNI, EST Essaouira Université Cadi Ayyad
- M'bark HOUSSAS, ENCG, Université Ibn Zohr, Agadir
- Meryam BENABDOUALLAH, Universiapolis-Université Internationale d’Agadir
- Nabil OUARSAFI, FEG Settat
- Pierre-Antoine LANDEL, Université de Grenoble Alpes
Comité de coordination
- Hassan FAOUZI, Universiapolis-Université internationale d’Agadir
- Jamal EL ACHMIT, Universiapolis-Université internationale d’Agadir
POUR CITER CETTE ANNONCE
« Économie touristique, créativité et innovation des territoires touristiques post-catastrophes », Appel à contribution, Calenda, Publié le mercredi 15 novembre 2023, https://calenda.org/1108686
Source: calenda.or
Suite au séisme survenu au Maroc, le Seto vient d’organiser du 9 au 10 novembre un déplacement de 24h à Marrakech, en compagnie des principaux opérateurs de la destination pour exprimer le soutien du marché français
Quotidien du Tourisme : Croyez vous à la relance de la destination Maroc ?
Raouf Ben Slimane : Oui, car Le Maroc est un exemple en termes de stratégie. Tout d’abord, nous avons en face de nous des partenaires dont la vision et le discours sont clairs. Ensuite, notre ambition de croissance se justifie par plusieurs paramètres qui selon nous font de cette destination l'une des plus prometteuses en moyen-courrier.
Je m’explique ; en tant que voyagiste français, nous savons que la France est le premier pays émetteur pour le Royaume Chérifien et que tout le secteur du Tourisme au Maroc est focalisé sur les objectifs ambitieux définis en amont par le Roi. Nous le constatons de façon concrète, le niveau des moyens dont se dote la destnation pour atteindre ses objecifs est très important.
Quotidien du Tourisme : Si les moyens sont importants, est-ce que les actions suivent ?
Raouf Ben Slimane : En tout premier lieu, le Maroc a compris depuis longtemps que pour avoir un maximum de visiteurs, il fallait d'abord augmenter les capacités aériennes et ouvrir le ciel à la concurrence.
À ce jour, non seulement la plupart des compagnies low cost sont présentes sur des axes à forte demande aussi bien que sur des régions que le Maroc souhaite développer en apportant sa contribution financière aux opérations. De plus la compagnie nationale, la Royal Air Maroc, augmente elle aussi ses capacités par un investissement massif dans de nouveaux appareils pour répondre à la demande et ouvrir de nouvelles lignes.
On observe donc l'ouverture tous azimuts de nouvelles routes, desservies par la compagnie nationale ou des compagnies étrangères. Le dernier exemple marquant étant l'ouverture de la ligne Paris Dakhla par Transavia avec 2 jours d'opération par semaine.
Cette réponse aérienne a une demande forte ou provoquée selon le cas, ne s'est pas produite d'un coup de baguette magique. Elle a été l'une des pierres angulaires de la vision 2010 qui était basée sur :
Premièrement : l'investissement dans le développement de l'offre hôtelière, et notamment haut de gamme en faisant venir les plus grandes marques mondiales de l’hôtellerie.
Deuxièmement : la diversification régionale avec des investissements très lourds dans le développement ou l'émergence de nouvelles stations balnéaires comme Saïdia, Lixus,Mogador, Mazagan, Taghazout ...
Troisièmement : pour cela donc il fallait disposer d'une offre aérienne adaptée et ouvrir le ciel aux low cost.
À l’époque, nous faisions partie des partenaires constamment invités pour participer aux échanges avec nos amis marocains. Nous connaissons donc bien les personnes et la vision qui a été à l'origine de la suite que nous connaissons, puisque les 10 millions de visiteurs qui étaient visés en 2010 ont été atteints peu de temps après en 2013.
Quotidien du Tourisme : Cette créativité et cette réactivité vous rassurent ?
Raouf Ben Slimane : Parfaitement. Depuis cet élan, cette impulsion, la dynamique qui a été mise en place n'a jamais fléchie, bien au contraire elle s'est accélérée sous l’effet des succès rencontrés, mais aussi de la créativité des personnes qui représentent à la fois les régions, les CRT, les hôteliers, les transporteurs, etc... et enfin par le caractère transversal des échanges entre les différentes instances et les ministères concernés, la synergie est visible.
J’ajoute à cela un fort savoir-faire marketing pour à la fois se démarquer, emporter l'adhésion des partenaires et finalement pour séduire les clients en maîtrisant parfaitement les clés du discours pour développer les axes forts que sont Agadir et Marrakech, mais aussi les autres régions comme Essaouira, Tanger, Fès, Rabat, Dakhla, etc...
Quotidien du Tourisme : Quel a été l’impact du séisme du 8 septembre ?
Raouf Ben Slimane : Il est important de noter que cet évènement a clairement démontré l'esprit de résilience des Marocains. Il nous a permis de constater la débauche d'énergie, de créativité et de réactivité déployées pour diffuser des messages rassurants et séduisants afin de maintenir la confiance dans la destination...Ce qui a été fait rassure aussi forcément les opérateurs comme nous qui investissons à fond dans ces destinations au travers de nos multiples engagements hôteliers sur des périodes triennales, voire quinquennales, avec le risque que cela suppose.
Et je pense que cela a eu un effet sur le retour rapide de la destination qui avait chuté de 80% dans les jours qui ont suivi la catastrophe pour revenir progressivement au même niveau de réservation que l’année précédente en seulement 30 jours.
Quotidien du Tourisme : Comment voyez-vous donc l’avenir proche ?
Raouf Ben Slimane : Je vois un horizon tricolore en vert bleu et rose. L'avenir de la destination est vert, car tous les voyants sont au vert. Il y a un capital sympathie maximum des Français pour le Maroc. La dynamique est en place et rien ne l’arrêtera, ni tremblement de terre ni acte ou velléité terroriste, car dans le domaine de la sûreté la destination est parmi les meilleures. Ce qui pourra se produire un jour, la résilience des Marocains l'effacera le lendemain...on vient d’en avoir un exemple tout récent.
Il est aussi bleu comme son ciel et le climat. C’est l’atout clé de la destination qui jouit d’un ensoleillement maximum tout au long de l’année.
Enfin il est rose comme la couleur de la joie ! Celle que vont procurer les évènements mondiaux que le Maroc a eu le privilège de se voir attribuer et qui seront des boosters exceptionnels pour le Tourisme. Et cela est une excellente nouvelle pour tous les partenaires de la destination.
Je pense principalement à la coorganisation de la Coupe du Monde de Football avec l'Espagne et le Portugal en 2030.
Quotidien du Tourisme : Parlons de la stratégie d'Ôvoyages
Raouf Ben Slimane : Elle est claire et limpide. Elle est alignée sur les ambitions de nos partenaires marocains à qui nous avons promis d'atteindre un objectif très ambitieux sur 3 ans que nous allons réaliser par paliers progressifs et dont le 1er a commencé en 2023.
À ce jour avec plus de 40 000 clients annuels, le Maroc est notre 3e destination loin cependant derrière l'Espagne et la Grèce, mais nous visons le cap des 70 000 clients d’ici 2025, soit dans seulement 2 exercices...
Pour cela nous avons une offre très large qui comprend les séjours classiques, mais aussi dans nos 7 Ôclubs. Nous en avons 4 actuellement plus 3 en cours où nous sommes engagés sur une centaine de chambres par semaine et sur toute l’année. Les circuits et bien évidemment une production qui va intégrer plus de régions comme Tanger Fès Rabat Dakhla ....
À propos des Ôclub, nous visons d'en avoir une dizaine d'ici 2025 afin de mettre la destination au même niveau que la Grèce et de pouvoir répondre à une forte demande sur ce segment qui représente 40% des réservations et qui en réalité se justifie autant par le rapport qualité-prix imbattable, que pour le concept de la formule club et les expériences de découverte de la destination que nous y ajoutons.
Comme vous le voyez, nous sommes aussi en ordre de marche soutenue sur le Maroc.
Source: Le Quotidien du tourisme.com