Menu
LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


C’est une belle réussite arrivée dans le domaine de la procréation médicale assistée à Agadir. En effet, après 11 années de mariage, un couple dans l’attente d’avoir une naissance, a fini enfin par être comblé de joie récemment, grâce à la méthode de procréation assistée pratiquée dans un Centre de Fertilité à Agadir.


Agadir / Médecine :  Procréation Médicale Assistée. Belle réussite.
Centre par ailleurs connu dans ce domaine, puisqu’il existe, avec depuis des années et bien connu pour la pratique réussite de cette méthode médicale extraordinaire.  Le centre  est hébergé au cœur de la clinique Cheikh Saadi, permettant des accès directs à tous les besoins médicaux nécessaires à la méthode de procréation assistée. Méthode  qui demande un bon savoir faire et du matériel de pointe, ainsi qu’un groupe de médecins spécialisés chacun dans un domaine, pour mener à bien cette méthode réclamant un grand savoir pratique.
 
   Au point de vue pratique, cette méthode de procréation, explique Dr Samir Mahfoud biologiste bien connu dont le laboratoire d’analyses médicales vient d’être certifié NM ISO 15189 Version 2023, certificat de pointe. ils sont d’ailleurs quatre labos à l’avoir dans toute la Région Sud. Dès leur arrivée au centre, le couple sujet de la procréation est accueilli ensemble, dans un cadre confidentiel, rassurant et respectueux. «  Nous accordons une importance particulière à l’écoute, à l’explication claire des étapes, et à la prise en charge personnalisée, car chaque couple, chaque histoire et chaque parcours de fertilité sont uniques.
 

Le parcours débute par un bilan complet et coordonné, réalisé par une équipe pluridisciplinaire composée de gynécologues, biologistes de la reproduction, embryologistes et personnel paramédical spécialisé. Cette évaluation nous permet de proposer la stratégie la plus adaptée, en tenant compte des paramètres féminins et masculins. »
 
 Pour des explications en détails, Dr Mahfoud , précise, à ce sujet que dans le cadre de la fécondation in vitro (FIV) et de la micro-injection intracyto plasmique (ICSI), l’ensemble des étapes est réalisé au sein de notre plateau technique de haute technologie. Après la stimulation ovarienne et la ponction des ovocytes, la fécondation est effectuée en laboratoire par nos embryologistes expérimentés, dans des conditions strictement contrôlées, respectant les normes internationales de qualité et de sécurité. La prise en charge par la femme a été réalisée par Dr Sarjdine Kamal, la biopsie par Dr El Kiassi Azeddine.
 
   Les embryons obtenus sont ensuite cultivés et surveillés quotidiennement, afin d’évaluer leur développement et leur qualité. Lorsque les conditions sont optimales, il est procédé soit à un transfert embryonnaire, soit à la congélation des embryons par vitrification.
 
« La congélation embryonnaire représente aujourd’hui un atout majeur, explique Dr Samir Marfoud : elle permet de préserver les embryons dans des conditions optimales et d’offrir au couple la possibilité d’un transfert ultérieur, lors d’un autre cycle, dans un contexte hormonal plus favorable pour la femme. Cette approche améliore le confort, la sécurité et les chances de réussite. Tout au long du parcours, notre équipe reste aux côtés du couple, avec une disponibilité constante, une information transparente et un accompagnement humain, respectueux et bienveillant ».
 
   Un bel exemple de cette pratique médicale extraordinaire de procréation médicale assistée, a été récemment bien démontré, à travers un couple, présentant une situation de fertilité particulièrement complexe. Dans le détail, il est à savoir que chez l’homme, le bilan a mis en évidence une azoospermie totale, avec absence complète de spermatozoïdes dans l’éjaculat. Chez la femme, le diagnostic retenu était un syndrome des ovaires polykystiques (OPK), une pathologie hormonale fréquente, pouvant altérer l’ovulation et compliquer l’obtention d’une grossesse spontanée.
 
   Après une évaluation approfondie et une concertation pluridisciplinaire, une biopsie testiculaire a été réalisée chez l’homme. Cette intervention a permis de récupérer des spermatozoïdes viables, qui ont été congelés dans des conditions optimales au sein du laboratoire du Centre. Parallèlement, la patiente a bénéficié d’une prise en charge médicale adaptée de son OPK, avec un traitement hormonal personnalisé visant à optimiser la réponse ovarienne.
 
   Pour la suite, une fécondation in vitro par micro-injection intracytoplasmique (ICSI) a ensuite été réalisée à partir des spermatozoïdes prélevés et des ovocytes obtenus. Cette procédure a permis l’obtention de plusieurs embryons de bonne qualité. Un transfert embryonnaire a été effectué, tandis que les embryons surnuméraires ont été congelés par vitrification, offrant au couple des possibilités futures de transfert.
 
   Pour conclure, notre spécialiste confirme « résultat de ce beau travail à ce jour, la patiente est enceinte d’un mois et demi, et l’évolution de la grossesse est favorable. Inutile de parler de la joie extrême du couple après une attente de 11 ans pour qu’enfin, voir une fécondation prendre forme et menant vers une naissance, assistée par un ensemble de médecins spécialisés. Cette réussite est à leur honneur », conclue-t-il.
 
  Bravo  messieurs et très bonne continuation et plein de réussite encore vis à vis de ces couples stériles qui finissent par réaliser leur rêve avec une naissance tant attendue et finalement bien arrivée. Honneur et félicitations aux praticiens  acteurs des maitrises médicales perfectionnées et de qualité au service du bonheur de couples avides d’avoirs des enfants.
 
 
Mohamed RIAL
 
 
 
 
 

Par Med Mohamed Rial le Mardi 16 Décembre 2025


Placée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la 20ᵉ édition du Festival Timitar – Signes et Culture se tiendra à Agadir du 17 au 19 décembre 2025, à partir de 18h00 chaque soir. Ce cap symbolique marque vingt années d’engagement en faveur des musiques amazighes, du dialogue artistique et de l’ouverture sur le monde.


Festival Timitar 2025 : Agadir fête vingt ans d’ouverture amazighe
Les artistes amazighs au cœur d’un dialogue musical mondial – Une édition résolument ancrée en Afrique.

Depuis sa création en 2004, Timitar s’est imposé comme l’un des grands rendez-vous culturels du Maroc, rassemblant chaque année près de 200 000 festivaliers autour de sa signature fondatrice :

« Les artistes amazighs accueillent les musiques du monde ». Classé parmi les festivals internationaux de référence, Timitar est aujourd’hui un repère culturel incontournable du continent africain.

Cette édition 2025 se tiendra à la veille du coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations, dont plusieurs matchs se dérouleront à Agadir. Cette synchronisation exceptionnelle confère au festival une résonance particulière, renforçant son ancrage africain et sa visibilité auprès de la presse internationale déjà mobilisée pour la CAN. Timitar devient ainsi le premier grand rendez-vous culturel précédant la compétition, offrant à Agadir une scène idéale pour célébrer la diversité culturelle africaine, la diplomatie artistique et l’attractivité du territoire.

  UN VOYAGE MUSICAL EN TROIS SOIRÉES
SOIRÉE 1
 — L’Afrique en partage
La soirée d’ouverture rend hommage au continent africain à travers une programmation qui fait dialoguer héritages, identités et modernité.
Ahwach Bnat Louz x Raskas, création Tekchbila, mêlera poésie amazighe, rythmes du Souss et textures électroniques pour un dialogue inédit entre tradition et modernité. Fatima Tabaamrant, grande voix amazighe, poétesse et figure engagée, incarne depuis plus de trente ans la mémoire vivante et la force des chants du Souss. Alpha Blondy, légende ivoirienne du reggae, porte depuis quarante ans une voix humaniste, nourrie de spiritualité, de traditions africaines et d’engagements politiques. Shan’L, figure majeure de l’afro-pop gabonaise, apporte son énergie flamboyante révélée par des hits panafricains.Krys M, étoile montante du Cameroun, fusionne afro-pop et rythmes traditionnels pour composer des hymnes fédérateurs.

  Isabel Novella, voix mozambicaine magnétique, mêle soul, jazz et traditions ancestrales dans une approche artistique intime et profondément humaine. Hicham Massine rendra hommage à Ammouri M’barek, pionnier de la modernisation de la chanson amazighe et figure majeure de la world music marocaine. En ouverture du festival, cette première soirée établit un lien naturel avec l’effervescence qui précède la CAN 2025, mettant en avant la créativité des scènes africaines et la diversité des expressions musicales du continent.

 

SOIRÉE 2 — Un souffle oriental et méditerranéen

La deuxième soirée met à l’honneur les influences orientales, arabes et méditerranéennes à travers des artistes qui réinterprètent leurs héritages avec audace et modernité. Double Zuksh, formation égyptienne émergente, fusionne mahraganat et hip-hop alternatif pour offrir une lecture moderne et percutante des scènes urbaines du Caire. Wegz, phénomène générationnel égyptien, a marqué la pop et le hip-hop du Moyen-Orient par une créativité devenue un véritable mouvement culturel.

Izenzaren, groupe mythique fondé dans les années 1970, demeure l’un des porte-voix emblématiques de la culture amazighe moderne.

Marwa Nagy rendra un hommage exceptionnel à une grande voix mythique du répertoire oriental, symbole intemporel de l’âge d’or de la chanson arabe, accompagnée par l’Orchestre Hicham Telmoudi, formation reconnue pour son excellence académique et sa maîtrise des répertoires marocain et oriental.AZA, groupe amazigh basé en Californie, tisse les rythmes d’Afrique du Nord avec des influences contemporaines internationales, célébrant un patrimoine en perpétuelle évolution.Cette soirée tisse un dialogue subtil et puissant entre les traditions musicales orientales et les sonorités urbaines actuelles, révélant la vitalité d’un patrimoine en constante évolution.


.

SOIRÉE 3 — Le Maroc au cœur : héritages & nouvelles scènes

 La troisième soirée propose un regard profond sur le patrimoine musical marocain, tout en mettant en lumière la créativité des nouvelles générations. Ahwach Aglagal, troupe phare de l’Anti-Atlas, offriront des performances immersives où chants, poésie, danse et costumes traditionnels rendent hommage aux racines amazighes. Khalid Al waabani, artiste amazigh de la nouvelle génération, revisite avec modernité l’art du Tagroubbit avec une sensibilité contemporaine, tout en préservant l’âme du Souss. Nacim Haddad, voix  exceptionnelle confirmée de la Aita marocaine, apportera la fraîcheur d’une nouvelle génération très appréciée du public. Jaylann, voix montante de la scène marocaine, propose une pop plurilingue qui résonne auprès d’un public jeune et international.

Badr Ouabi célèbrera l’héritage de Mohamed Rouicha, maître du loutar, dans une interprétation empreinte d’émotion. Labess connu pour son style unique de « gipsy-chaâbi » qui fusionne le chaâbi algérien, la rumba gitane, le flamenco et des rythmes africains, explorant les thèmes de l’exil et de l’identité avec des textes en arabe, français et espagnol.

Une soirée qui reflète la vitalité culturelle du Maroc et l’expression plurielle d’une scène artistique en pleine évolution.

LES SCÈNES D’UN RENOUVEAU URBAIN

Les concerts se dérouleront chaque soir à partir de 18h00 dans deux lieux emblématiques d’Agadir :

  • La Place Al Amal, entièrement réaménagée en 2025, offrant de nouveaux espaces publics, une accessibilité renforcée et des infrastructures techniques de dernière génération.
  • Le Théâtre de Verdure, récemment restauré, désormais pensé comme un espace scénique stratégique pour les concerts et les captations audiovisuelles.

Ces deux sites symbolisent le dynamisme culturel de la ville d’Agadir et la transformation urbaine engagée ces dernières années.

UN FESTIVAL POPULAIRE, FIDÈLE À SON ADN

Ouvert à tous et gratuit, Timitar demeure fidèle aux valeurs qui fondent son identité :la valorisation des musiques amazighes, l’accueil des cultures du monde, le dialogue entre les peuples, le vivre-ensemble et la transmission entre générations. Le festival doit son rayonnement à l’engagement de ses bénévoles, à la mobilisation du public gadiri et au soutien constant de ses partenaires institutionnels : la Commune d’Agadir, la Région Souss-Massa, la Wilaya, l’Office National Marocain du Tourisme, le Conseil Régional du Tourisme, l’Association des Hôteliers d’Agadir et l’Association des Transporteurs d’Agadir.

LES SCÈNES D’UN RENOUVEAU URBAIN

Trois jours de musique, de rencontres et de fraternité artistique, à partir de 18h00 chaque soir pour célébrer la culture Amazigh, l’Afrique et le monde à Agadir.


 Source:   
https://amadalamazigh.press.ma/


 


Tags : Timitar 2025
Par Med Mohamed Rial le Samedi 13 Décembre 2025


Dans de nombreux pays visités chaque année par des millions de touristes, le simple fait de monter dans un taxi peut rapidement se transformer en source de stress. Une étude internationale révèle que les pratiques frauduleuses dans ce secteur restent fréquentes et parfois très organisées. En analysant des milliers de retours de voyageurs, les chercheurs ont dressé une carte mondiale des destinations où les risques d’arnaques sont les plus élevés, et le Maroc comme l’Égypte y occupent une place particulièrement préoccupante.


Arnaques en taxi : une étude mondiale place le Maroc et l’Egypte dans le top 10 des destinations à risque

Prendre un taxi après un long vol devrait être une formalité. Pourtant, dans de nombreuses destinations touristiques, cette étape devient l’un des moments les plus redoutés du voyage. Une analyse de milliers de témoignages publiés sur Reddit révèle l’ampleur des fraudes dans les transports, et le Maroc ainsi que l’Egypte figurent parmi les dix pays les plus concernés par ce fléau.

Un classement mondial qui fait réfléchir

L’étude, menée par la plateforme de sécurité AllClear, s’est appuyée sur plus de 30 000 commentaires issus des communautés de voyageurs. L’objectif : identifier les lieux où les visiteurs rapportent le plus d’arnaques liées aux taxis. Sans surprise, la Turquie domine largement le classement, cumulant plus du double de signalements par rapport à l’Inde, qui occupe la seconde position. La Thaïlande, le Vietnam et l’Égypte suivent, dessinant un top 5 largement concentré sur des pays où la circulation dense et le tourisme de masse créent un terrain propice aux abus.

Au-delà de ces destinations très fréquentées, le Maroc apparaît à la 8ᵉ place, totalisant plus de 1 300 commentaires évoquant des pratiques frauduleuses. Cette position le place juste derrière le Mexique et devant les États-Unis, démontrant que le phénomène n’est pas limité à un seul type de marché ou de niveau de développement. Fait notable : la France figure elle aussi dans la liste, en 11ᵉ position.

Les arnaques les plus courantes : un scénario bien rodé

La majorité des plaintes se concentrent sur les zones aéroportuaires, où les voyageurs fatigués et pressés deviennent des cibles faciles. Les méthodes employées sont souvent similaires, quel que soit le pays. Parmi les techniques les plus répandues figure l’approche des rabatteurs non officiels. Ces individus, parfois très convaincants, proposent des courses « à bon prix » avant de réclamer un montant bien supérieur à l’arrivée. La situation peut se compliquer lorsque les voyageurs ne connaissent pas les tarifs locaux ou ne disposent pas de repères pour contester.

La fraude au compteur « en panne » reste également un grand classique. Sous prétexte d’un dysfonctionnement, certains chauffeurs imposent un tarif forfaitaire largement gonflé, parfois deux ou trois fois supérieur au prix réglementaire. Dans d’autres cas, le compteur est bien actif… mais trafiqué pour accélérer l’affichage du montant.

Comment se protéger ? Les conseils des experts

Pour limiter les risques, les spécialistes du voyage recommandent d’éviter toute sollicitation dans les halls d’arrivée et de privilégier les stations de taxis officielles. Une fois à bord, il est essentiel de vérifier que le compteur est bien activé dès le départ. Si le chauffeur refuse, mieux vaut descendre immédiatement. Au Maroc, ces pratiques ne restent pas sans réponse. Le ministère de l’Intérieur affirme travailler activement à la modernisation et à la régulation du secteur.

Le ministre Abdelouafi Laftit a rappelé que les autorités provinciales disposent de moyens juridiques pour imposer des normes strictes : qualité du service, respect des tarifs, comportement professionnel, conditions d’obtention des licences. Entre janvier 2023 et février 2024, pas moins de 317 licences de taxi ont été retirées temporairement à des chauffeurs en infraction. Certaines suspensions peuvent durer jusqu’à six mois. Par ailleurs, 15 autres licences ont été retirées dans l’attente de décisions judiciaires.

Le ministère assure également vouloir harmoniser les pratiques à l’échelle nationale en diffusant régulièrement des circulaires aux autorités locales. Les efforts portent autant sur le contrôle que sur la modernisation du service : mise à niveau des taxis, amélioration de la relation client, et même intégration de solutions numériques pour faciliter la réservation ou la mise en relation via des applications.
 

Source : afikcom

Tags : taxis études
Par Med Mohamed Rial le Dimanche 7 Décembre 2025


1 ... « 210 211 212 213 214 215 216 » ... 245




Partager ce site