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LE TOURISME VECTEUR DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL. MOYEN JUDICIEUX DE RAPPROCHEMENT DES CIVILISATIONS ET DES HOMMES


Il est grand temps pour les professionnels du tourisme à Agadir et pour les élus régionaux et locaux de militer pour arriver à prendre en main la gestion touristique et sortir du dictat de l’ONMT et du Ministère qui gèrent le tourisme de Rabat, sans grande concertation ni connaissance du terrain. Cela doit cesser, car il a trop duré.


Agadir Souss Massa : Tourisme  Une Décentralisation et une Déconcentration de la Gestion du Tourisme Régional, désormais, s’impose.
Le Conseil Régional du Souss Massa, arrive à faire du beau travail de proximité, dans plusieurs secteurs et domaines dans les provinces et préfecture de la Région, grâce à une gestion décentralisée, appuyée sur la Régionalisation Economique Avancée.
Pour réussir un développement touristique régional, il est grand temps de laisser la gestion régionale du tourisme aux intéressés locaux ; en première ligne les professionnels et les élus.
 
  Le tourisme régional a trop souffert de la gestion téléguidée de Rabat. Cela doit cesser une fois pout toute. ON ne peut accepter que les avis, observations, et propositions des professionnels et des élus, sur la gestion touristique locale continue  de souffrir d’un manque d’intérêt et de compréhension de la part des décideurs de Rabat. La preuve récente est la préparation de la fameuse Route du Tourisme, imposée, via un cabinet privé, et qui n’avait pas accordé l’intérêt qu’il fallait pour les propositions réclamées et suggérées par les professionnels de la Région.
 
  La gestion de l’ONMT concernant l’octroi d’un stand pour Agadir, dans les salons touristiques internationaux est encore pire. Le cas de ce qui est arrivé au dernier salon de Londres le WTM est plus que révélateur. IL est scandaleux. Comment L‘ONMT peut-il se permettre de monter un soit -on stand de participation pour Agadir, première destination balnéaire nationale, dans la précipitation, logé dans un coin, loin de toute visibilité. L’exemple du stand d’Agadir Souss Massa, au FITUR est encore pire. Pas plus de trois mettre carrés, relégué dans un coin marginalisé loin de toute possible de mise en valeur du tourisme dans la Région Souss Massa et de ces professionnels. Un scandale, que l’ONMT, laisse faire sans remords.
 
   ON ne peut sortir de cette marginalisation qu’avec une vraie gestion régionale de la promotion touristique. Les intéressés sont bien placés pour savoir comment assister et participer positivement aux salons et diverses manifestations touristiques internationaux. La preuve par neuf en est que le CRT Agadir a déjà et réussi l’organisation de Stands Régionaux, à Moscou, Londres, Berlin, dans l’esprit de mettre les divers produits touristiques régionaux. Cela a dérangé les responsables de Rabat qui n’avaient nullement accepté de voir la destination Agadir se prendre en main, grâce au soutien financier du Conseil Région Souss Massa, formant une première du genre au Maroc.
 

Agadir Souss Massa : Tourisme  Une Décentralisation et une Déconcentration de la Gestion du Tourisme Régional, désormais, s’impose.
  Ces solutions pratiques de terrain par les professionnels et les élus, dérangent et ont toujours déranger énormément les responsables de Rabat qui voient là une concurrence qui remet en question leur « philosophie » de promotion, craignant une contagion dans les autres CRT du tourisme, qui finiraient par suivre l’exemple d’Agadir. ON rappelle dans ce contexte, l’erreur, voir le crime « touristique » commis contre le développement du tourisme lorsqu’une décision ministérielle il y a des années de cela, bizarre voire incompréhensible, avait adopté la fameuse stratégie des pays européens dit « prioritaires », malheureusement favorisés au détriment des pays scandinaves et nordiques.
 
 Or les pays scandinaves et nordiques faisaient vivre la destination balnéaire Agadir, en hiver durant six mois défilés : du mois de novembre au mois d’avril. Les touristiques remplissaient à la fois les résidences touristiques et les hôtels à Agadir. La décision fatale de l époque, continue toujours d’être un handicap pour le développement de ces deux marchés, qui accusent un remplissage trop bas, voire dans certains pays presque nul. IL faut beaucoup de travail, de contact avec les opérateurs et intervenants du tourisme en Scandinavie, mais de promotion ciblée dans les pays nordiques, pour espérer remonter la pente à arriver à capter les clients, les Tours Opérateurs et l’aérien dans ces pays. Ce n’est pas vite fait mais c’est faisable avec l’intelligence pratique et l’implication qu’il faut…
 
  Moralité de l’histoire il n’y aura pas de vrai développement touristique sans une vraie prise en main en matière de gestion touristique régionale, par les intéressés. A savoir les professionnels du secteur et les élus, appuyés par les Autorités Locales, à leur tête le Wali de la Région et les gouverneurs des provinces. Cela est d’autant plus vrai et réaliste que toutes les provinces de la Région Souss Massa, ont une importante vocation touristique : c’est le cas de Taroudant, Tiznit, Chtouka Ait Baha, Tata… 
 
 A bon entendeur, salut
 
 A suivre : Quelle gestion de proximité pour dynamiser le tourisme dans la Région

Par Med Mohamed Rial le Mardi 26 Mars 2024


Des utilisateurs des réseaux sociaux ont partagé des images du prix d’un billet d’avion aller simple de Rabat à Malaga avec la compagnie aérienne Ryanair, qui atteint environ 3000 dirhams marocains, sans bagage.

Ce tarif a provoqué l’indignation de nombreux voyageurs souhaitant se rendre vers des destinations européennes et mondiales, notamment avec l’approche de la saison estivale et la demande croissante de voyages.


Adil Fakir DG de l ONMT
Adil Fakir DG de l ONMT

Certains se demandent quel rôle joue l’Office national du tourisme dans le soutien aux compagnies aériennes à bas coût, notamment parce que Ryanair bénéficie du soutien des deniers publics, les prix annoncés étant jugés excessivement élevés pour de nombreux Marocains.

D’autres ont appelé l’Office national du tourisme à revoir ses accords avec les compagnies aériennes à bas coût et à garantir des tarifs appropriés pour les citoyens marocains.

Il convient de noter que l’Office national du tourisme apporte un soutien financier aux compagnies aériennes à bas coût pour attirer davantage de touristes au Maroc, dans le cadre de sa stratégie de développement du secteur touristique.

Ryanair est l’une des compagnies aériennes à bas coût les plus répandues dans le monde, et récemment, le gouvernement lui a permis d’opérer des vols vers de nombreuses villes marocaines.

Cependant, l’augmentation parfois des tarifs de ses billets suscite des débats sur l’efficacité du soutien de l’Office national du tourisme aux compagnies aériennes à bas coût pour atteindre ses objectifs.

 Source : al3omk.com


Par Med Mohamed Rial le Vendredi 22 Mars 2024


L’entrée fracassante de Ryanair dans le ciel marocain pour vendre les vols domestiques inter-villes a eu un effet d’annonce dévastateur pour Royal Air Maroc et Air Arabia Maroc accusant amèrement le coup car voyant venir la suite. Surtout face à un géant du low cost extrême difficile à vaincre. Un David contre un Goliath, quoi!


Aérien  / Que cachent les petits prix Maroc-Maroc de Ryanair?

D’accord, les prix alléchants et inédits dans l’histoire de l’aviation marocaine (peut-être une exception avec Atlas Blue, la défunte compagnie low cost de la RAM) demeure une excellente alternative qui se présente aux marocaines pour voyager beaucoup plus en avion à l’intérieur de leur pays à mini-prix. N’est-ce pas beau ? Assurément, si toutefois la majorité des voyageurs peut se le permettre. Comment?

Il est vrai que le client peut acheter en ligne son billet en dirhams marocains. Revers de la médaille, l’opération d’achat définitif ne peut se réaliser que si l’acheteur dispose d’une dotation en devises auprès de sa banque et pas autrement. Nous avons du nous en assurer par nous-mêmes en achetant, vendredi, un billet Agadir-Tanger dont le montant (300 DH et quelques), au moment de la réservation, nous a été demandé en dirhams. Le lundi d’après, nous apprenons auprès de notre banque que notre dotation en devises a été, à notre grande surprise, débitée de 33 euros en faveur de Ryanair.

Enseignement : Ce baratin avec lequel on nous casse les oreilles comme quoi tous les marocains peuvent, avec l’avènement Ryanair Maroc-Maroc, voyager come ils le veulent à tarifs incomparables ne tient pas la route. Difficile d’imaginer que l’ouverture d’un compte doté de devises est à la portée de tous. C’est illusoire! Seule une catégorie assez bien portante aura le loisir de voyager à prix cassés…

Ce qui étaie donc la thèse de ceux désignés à tort par pessimistes : les montants des billets achetés au Maroc pour des vols à l’intérieur du Maroc atterrissent en devises directement dans les comptes de la compagnie en Europe. Du coup, il est peut-être évident que les transactions échappent tout bonnement à la TVA marocaine et autres. Ce qui laisse supposer, peut-être, que le montant à verser à l’ONDA par Ryanair sur chaque appareil au sol serait lui aussi low cost.

Toutes les interprétations sont à prendre en l’absence de précisions de la part des parties ayant co-signé ce type de partenariat avec la compagnie irlandaise. Il serait étonnant de penser qu’ils n’étaient pas au courant des pour et des contre.


 Source : premiumtravelnews.com  par  mustapha amal


Par Med Mohamed Rial le Vendredi 22 Mars 2024


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